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Vous êtes sur un site recensant les creepypastas les moins connues afin de les aider à se faire connaître. Mais qu'est-ce qu'une creepypasta ?

Une creepypasta est une légende urbaine horrifique circulant sur Internet via le copié/collé (d'où le nom, Creepypasta = Creepy + Copy-Paste), souvent accompagnées de preuves audio, vidéos ou photos.

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Creepypastas

Béla Kiss, le Landru Hongrois

21/01/2016 14:20

    Il s’appelait Béla Kiss. Et nous allons vous raconter son histoire avec le spécialiste français des tueurs en série, Stéphane Bourgoin, à qui je me suis adressé, pour vérifier que cette affaire avait vraiment existé, tellement le nombre de victimes et la façon de conserver leurs corps peut faire penser qu’il s’agit d’une légende macabre.

    Disons-le tout de suite Béla Kiss a vraiment tué au moins 23 malheureuses, qui avaient répondu à ses annonces matrimoniales publiées dans un journal de Budapest, peu avant la guerre de 14. L’affaire a durablement marqué la Hongrie, et nous avons pu reconstituer l’incroyable énigme de ce tueur en série qui n’a jamais pu être arrêté, et dont on perd la trace dans les années 1930 à New-York. C’est grâce à la guerre de 14 que le pot-aux-roses a été découvert, par des soldats austro-Hongrois, qui avaient réquisitionné des fûts d’essence de 200 litres conservé par un habitant d’un petit village proche de Budapest.

    On pense qu'il a tué au moins 23 jeunes femmes, dont il a conservé les corps dans des bidons en métal. Son épouse ferait partie de ses victimes. Ses crimes ne furent découverts qu'en 1916, en pleine première guerre mondiale. Lorsque Béla Kiss fut enrôlé dans l'armée, les autorités locales décidèrent d'utiliser le gaz que Kiss assurait détenir chez lui, dans sept grands bidons en métal. Evidemment, lorsqu'ils allèrent chercher le soit-disant gaz, ils tombèrent sur 24 cadavres conservés dans de l'alcool : 23 femmes étranglées dont son épouse. Le 24e cadavre correspondait à l'amant de cette dernière. 

    La police se rendit également compte que Kiss séduisait ses victimes féminines en utilisant une fausse identité et en leur promettant le mariage. Il choisissait bien sûr des femmes seules, qui ne risquaient pas d'être recherchées. Après son arrestation, Béla Kiss s'enfuit de l'hôpital de guerre serbe où il séjournait en convalescence, usurpant l'identité d'un jeune soldat blessé. La fin de sa vie reste cependant très mystérieuse...

Une nuit d'effroi

21/01/2016 13:44

(Témoignage trouvé sur le site occulte.net)

 

Date:   Mon, 21 Oct 2013 07:28:47  
De:   texavery_73@hotmail.fr 
Pseudo: tex 
Prenom: Yoann 
Ville: Gex 
Pays: France

    Je raconte cette histoire aujourd’hui car cela fait vingt ans que je n’ai toujours pas de réponse à ce que j’ai vécu. Voyant de plus en plus de témoignages similaires au mien, je me lance alors à mon tour pour raconter cette expérience avec ce qui me semble un poltergeist, ce qui à totalement changé ma vie… 

    A l’âge de dix ans je suis parti avec ma famille rejoindre ma tante (par alliance), son mari et leur fils dans leur maison qu’ils venaient d’emménager dans la célèbre ville de Chartres. Une maison pratiquement neuve, moderne et en lotissement. Sur les abords de ce lotissement se trouvait situé à environ 200 mètres, un château (genre château de la Loire), qui dégageait une sensation étrange mais loin du cliché des châteaux hantés. Une énorme étendu d’herbe séparait le lotissement du château. Nous avons donc passé quatre jours avec ma mère, mes deux sœurs et mon beau père dans cette maison pour rendre visite. Les deux premiers jours, j’ai dormi avec ma grande sœur dans un bureau assez vaste, aménagé pour l’occasion en chambre situé au RDC . A l’étage, dormait alors ma mère et mon beau père dans une chambre, ma petite sœur dans une seconde et enfin mon cousin et ses parents dans la chambre habituellement occupée par le couple. Au troisième jour, ma mère m’a demandé de dormir dans la chambre occupée par ma petite sœur car elle ne dormait pas très bien et se réveillait souvent la nuit pour les rejoindre dans leur chambre. J’étais très loin de penser que cette nuit là allait être la pire de ma vie… 

    L’après midi de cette troisième journée, j’étais assis devant la maison avec mon cousin. Il m’a alors confié que cette chambre, était son ancienne chambre et qu’il ne voulait plus y passer une seule nuit. Il me disait que quelqu’un s’amusait à jeter des cailloux contre ses volets (en bois) et qu’il avait essayé de surprendre le ou les coupables. En vain… Je dois avouer que la première impression que j’ai ressenti, c’est qu’il essayait de me faire peur ou de m’impressionner avec je ne sais quelle histoire à dormir debout en rapport avec le château et un vieux monsieur qui hanterait les alentours. A l’époque j’étais un gamin assez critique et qui ne croyait vraiment pas aux fantômes. Il n’insista pas avec son histoire. 

    Le soir venu, je ne pensai déjà plus à cette histoire de cailloux. Je me suis alors couché sans aucun souci et endormi normalement. C’est alors qu’à 2h06 (un réveil analogique était dans la chambre) je me suis réveillé soudainement. Pas à cause de bruits mais sans raison apparente. J’ai essayé de me rendormir mais en vain. C’est environ une dizaine de minutes plus tard que j’ai commencé à entendre des cailloux cogner les volets de ma chambre. J’ai rigolé intérieurement me disant que mon cousin était derrière tout ça. Je suis alors directement sorti de ma chambre et me suis dirigé dans la chambre de ma tante.

     Mon cousin était là, vraiment endormi et calme. J’ai alors pris la décision de régler le « mystère des cailloux » à ma façon et de guetter derrière les volets pour pouvoir surprendre la ou les personnes impliquées dans cette mascarade. Quand je suis revenu dans ma chambre, il n’y avait plus aucun bruit. J’ai décidé d’ouvrir les fenêtres, mais en laissant les volets fermés et le loquet déverrouillé pour pouvoir ouvrir très vite et enfin apercevoir quelqu’un s’enfuir, ce qui aurait enfin validé qu’une personne se jouait de ce mauvais tour. Comme je n’entendais plus rien pendant un certain temps, je me suis recouché. C’est à ce moment là que les bruits ont recommencé. Je me suis approché du rebord de la fenêtre et le bruit de cailloux était vraiment distinct et régulier contre le volet. Lorsqu’un caillou a alors à peine touché le volet, j’ai décidé d’ouvrir d’un coup et enfin apercevoir quelqu’un… Hélas personne n’était devant et il aurait été impossible à qui que ce soit de pouvoir se cacher. Tout simplement parce ce qu’il n’y avait rien pour  se cacher. C’est à ce moment là que j’ai commencé à me poser des questions. J’ai alors refermé les volets et pensé que je devais certainement halluciner. Mais les volets à peine fermés, le bruit à recommencé. 

    C’est à ce moment là que j’ai eu un grand frisson incompréhensible, un mélange de peur et d’inte inrrogations. J’ai alors ouvert les volets pour une seconde fois et je n’ai trouvé que le grand calme de la nuit comme réponse. Je me suis retrouvé seul et sans réponse face à ce qui se passait. Je me suis alors réfugié sous ma couverture en espérant qu’une seule chose ; me rendormir le plus vite possible. Les bruits de cailloux ont cessés pour laisser place à un autre bruit dont mon cousin ne m’avait pas parlé : les escaliers. Un grand escalier en bois massif qui reliait le salon avec les chambres du haut. J’ai alors entendu des pas extrêmement lourds qui descendaient les marches en courant et une porte du salon claquer à en faire trembler la maison. Je me suis alors levé, pensant que quelqu’un de la famille était à l’origine de ce vacarme. J’ai alors ouvert ma porte et me suis retrouvé en haut de l’escalier. Deux choses me paraissait bizarre : premièrement est que descendre ces escaliers en courant, sans allumer de lumières, était dangereux et deuxièmement que le bruit aurait dû réveiller au moins quelqu’un dans la maison.

    Après quelques minutes ou j’ai du me gonfler de courage, je suis alors descendu dans le salon pour voir de mes yeux si quelqu’un était en bas. Très grosse déception en découvrant que personne de la maison n’était à l’origine de tout ça. J’ai alors vérifié que la porte d’entrée de la maison était belle et bien fermée à clef et je suis alors remonté dans ma chambre. La porte de ma chambre à peine refermée, j’ai encore entendu ces pas lourds. Mais cette fois, les pas montaient avec une régularité et une lenteur effrayante, pour finalement s'arrêter devant la chambre de ma tante. Je suis alors parti aussi vite que j’ai pu sous ma couette tout en tremblant comme une feuille. Les pas se sont arrêtés et c’est alors que le bruit des cailloux s’est fait à nouveau entendre. Je ne sais pas combien de temps je suis resté sous la couette, mais les cailloux n’ont pas cessés de cogner le volet. Reprenant mon courage à deux mains j’ai décidé de ré-ouvrir les volets. Mais, là encore, rien n’était devant la maison pour expliquer qui pouvait jeter ces cailloux.

    Et c’est à ce moment là que les choses ont commencé à s’empirer. Je n’ai pas fermé les volets mais la fenêtre, et celle-ci à peine fermée, une poignée de cailloux est venu s’abattre sur les vitres avec une extrême violence. Je suis même tombé à la renverse sous la peur de cette attaque. J’ai vraiment cru que les vitres allaient voler en éclats. Tétanisé et abasourdi, j’ai décidé quelques minutes plus tard de me relever avec l’envie de rejoindre la chambre de ma tante afin de m’y réfugier. Le coup de grâce fut au moment d’ouvrir ma porte. J’allais ouvrir ma porte lorsqu’un énorme coup dans ma porte fit trembler celle-ci. Le coup était tellement fort que j’ai eu l’impression de sentir comme une vague de choc me traverser littéralement et faire trembler les murs de la maison. A ce moment là je n’avais envie que d’une chose : que quelqu’un se réveille et vienne à mon secours et me demander si c’était moi qui faisait tout ce bruit. Mais personne n’est venu. Je ne sais pas combien de temps je suis resté debout devant la porte totalement tétanisé, mais j’ai ouvert ma porte et j’ai couru le plus vite possible les quelques mètres qui me séparait de la chambre de ma tante. J’ai alors dormi le reste de la nuit avec elle et mon oncle, enfin ce qu’il en restait...

Le chat noir

23/12/2015 17:23
    Un matin d'école tout à fait normal, je pris le bus, comme tous les jours. La routine de la vie. Ce jour-là, il faisait très sombre, d'épais nuages empêchaient les rayons du soleil de passer. Soudainement, dans un virage, peu avant le prochain arrêt, un chat passa sur la route. Le bus le percuta. Personne ne réagit, exepté le chauffeur qui en ri. La pluie commenca à tomber de plus en plus fort. A l'arrêt suivant, un jeune garçon monta. Un pantalon noir, des chaussures noires, une veste noire. La capuche cachait ses yeux, ne dévoilant de son visage qu'un large sourire à la dentition particulièrement longue, fine et pointues, en particulier ses quatre canines. Il se posta devant le chauffeur et le tua des quatre griffes acérés sortant du bout de ses doigts. Le contucteur tomba dans une flaque de sang. Un mouvement de panique éclata. Quelqu'un appela la police. Je regarda la route derrière moi, le chat mort avait disparu. Quand je me retourna, le garçon n'était plus là également.
    Ne croisez pas la route d'un chat noir, cela porte malheur. Plus que vous ne le pensez.
 
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