Bienvenue à vous sur Creepypastas Françaises,

Vous êtes sur un site recensant les creepypastas les moins connues afin de les aider à se faire connaître. Mais qu'est-ce qu'une creepypasta ?

Une creepypasta est une légende urbaine horrifique circulant sur Internet via le copié/collé (d'où le nom, Creepypasta = Creepy + Copy-Paste), souvent accompagnées de preuves audio, vidéos ou photos.

Ce site coopératif vous propose de lire des creepypastas (évidemment), de publier vos écrits, de les corriger, de vous aider à en écrire ou, dans certains cas, d'écrire des creepypastas pour vous.

Attention ! Certains écrits contiennent des passages/propos violents, voir choquant. Ainsi, ce site est déconseillé au moins de douze (12) ans (déconseillé, pas interdit. Si vous avez moins de douze ans, le site ne vous est pas interdit, mais vous êtes responsable de ce que vous lisez).

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Creepypastas

Témoignage : L'esprit d'un enfant dérangé

21/09/2015 14:22

    L’histoire que je vais vous raconter me travaille l’esprit depuis 5 ans, date à laquelle les faits se sont produits.
    Je désire rester anonyme car l’enchainement des choses passent par une démarche professionnelle peu scrupuleuse, vous comprendrez en lisant mon récit.
    Je remercie l’équipe du site “train fantôme” pour ses conseils et son écoute.

    Je suis responsable d’une entreprise de terrassement dans le nord de la France, nous creusons des trous pour y passer des assainissements et autres piscines, bassins pour les particuliers et collectivités.
    En 2010 nous sommes intervenus pour creuser une fosse dans la cour d’une très vielle ferme (proche de Wambrechies), fosse très profonde (6 mètres) qui était appelée à contenir une cuve béton pour l’écoulement des étables à vaches.
    C'est un travail pour lequel mon équipe et moi-même sommes aguerris depuis plus de 20 ans. Seulement là, ça n’était pas comme d’habitude et j’avais pressenti les problèmes... Le mot est faible, voici le coeur de mon histoire :

    Nous arrivons un lundi matin et commençons le travail vers 10h00 après repérage et métrage des lieux. Dès les premiers coups de pelleteuse les ennuis ont commencés : problèmes mécaniques, odeurs de soufre, énervement sur le chantier, etc... c’est en début d’après midi et arrivé à une bonne profondeur de creusement que mon grutier est tombé sur un objet en pierre, une sorte de grand bloc en grés. C’est notre crainte dans le métier : devoir contourner un obstacle et refaire le travail. Dans la région nous tombons parfois également sur des restes militaires de la première ou deuxième guerre, voire même parfois des explosifs (obus, grenades, bombes). Bref, ici rien de tout ça mais un évènement plutôt inattendu : une sépulture en pierre !

    Après avoir dégagé le contour de l’objet, nous avons remonté cette petite tombe (140cm x 50cm) qui sous les impacts du godet de la pelleteuse s’est ouvert en plusieurs morceaux. Elle ne contenait plus rien que quelques ossements d’un corps ayant visiblement appartenu à un enfant.

    Photo d'une partie du sarcophage remonté. Emplacement du sarcophage dans la cavité (entouré de rouge).
sarcophagetrace de la tombe retrouvée


    Mon intention je l’avoue était d’enterrer cet objet plus loin afin de ne pas être ennuyé pour la suite des travaux (notamment par les historiens et autres médecins légistes qui auraient bloqué le chantier pour quelques mois). Mais tout n’allait pas se dérouler aussi simplement...

    En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, l’air est devenu lourd et des bruits de craquement se sont fait entendre du fond du trou. Incroyable, c’est une sensation qui glace le sang : on aurait cru qu’une rivière allait jaillir du fond de notre cavité. Mes 2 ouvriers (qui sont tous témoins et qui liront ce texte avant que je ne vous l’envoie) se souviennent même avoir ressenti comme une attirance vers ce trou, une forte sensation de mal être et comme un sentiment de force surnaturelle.
    “J’avais l’impression qu’il ne fallait pas regarder au fond” raconte toujours l’un d’entre eux. Pourtant c’est bien ce que nous avons fait et que nous n’aurions jamais du faire...
Alors que le ciel s’assombrissait comme lors d’une éclipse (pour rappel nous étions en été et il était +/- 13h30) et que nous avions décidé de reprendre le terrassement, il s’est passé une chose incroyable qui nous a glacé le sang :
    Une espèce de forme sombre s’est mise à apparaitre au fond du trou et à grogner (un peu comme un cochon) puis cette même forme s’est mise à tourner sur elle même et à faire des spasmes. Nous sommes 3 témoins et avons pu reconnaitre parfaitement “le corps” d’un enfant.
Cet enfant était habillé de vêtements sombres en bas (en lambeaux) et portait au cou une sorte de chiffon ou drap blanc. Détail affreux, il n’avait pas d’yeux et il hurlait de plus en plus fort avec le visage tourné dans notre direction.

    J’ai eu le temps de faire ces quelques photos (ndlt : visibles en bas de cette page), elles sont mauvaises car je n’étais pas préparé à une telle rencontre. Qui le serait ?
    "La chose était vivante et tournoyait de manière affreuse dans un vacarme de tous les diables, je n'ai jamais vu une chose pareille..."
    Le phénomène a duré 2 ou 3 minutes puis s’est arrêté pour recommencer à nouveau 10 minutes plus tard.
    On entendait des râles affreux, des cris de “souffrance” et des coups portés dans les parois du trou (comme des coups sourds). Rien de distinct néanmoins, aucune phrase audible de sens.
Pris de panique nous avons quitté le chantier tous les trois sans même prévenir le propriétaire des lieux (qui était absent).
    Le soir, toujours bouleversé par cette scène horrible et tracassé par le fait de laisser mon travail en plant, je suis retourné sur le chantier dans le but de reboucher ce maudit trou. Il était 20h00, je n’ai pas réussi a démarrer mon tracteur (plein de 15 tonnes de terres) : la chose était encore là, je ne là voyais plus mais je l’entendais cette fois moins bruyamment mais toujours avec ce sentiment fort de danger ingérable.
    Mes ouvriers sont revenus le lendemain et ont terminé de reboucher ce trou pour en refaire un plus loin, cette fois sans problème.
    Nous sommes depuis tous les trois bouleversés par cette découverte macabre, la partager sur votre site et avec des spécialistes du genre fait un bien fou. Merci de m’avoir lu et merci à toutes celles et ceux qui pourront nous donner des détails sur la nature de ce phénomène.
qui avait-il dans ce trou ?
    "je n’étais pas préparé à une telle rencontre. Qui le serait ?"

    Ci-dessous les photos prise par l'entrepreneur :
un esprit au fond d'un trouenfant morttombe hanté
    "Le phénoméne se déplaçait à une vitesse folle, inhumaine. L'antité était pour autant "solide" puisque les cailloux tombaient sous l'effet de son passage et on entendait de fort impacts dès qu'il touchait les bords de la cavité."
lévitation d'un fantôme
    "les pieds de cette créature ne touchaient pas le sol, il semblait léviter et rebondir sur les parois de la tranchée comme une boule de billard, mais aucun moment il n'est remonté à la surface, du moins pas à notre connaissance".

 

Source : https://www.train-fantome.net

Recueils d'Articles Paranormaux

21/09/2015 14:05

(Publié le 28/05/2015 à 08:10 par Franck Antson)
    À quelques kilomètres du Touquet, le village de Cucq, dans le Pas-de-Calais, a été victime de phénomènes paranormaux dimanche et lundi derniers. Dans l'une des deux stations-service, le téléphone est tombé en panne, la caisse est tombée par terre, les pompes à essence se sont déréglées et les bouchons des bidons entreposés se sont mis à sauter.

    Les gérants de cette station aimeraient bien comprendre pourquoi ces phénomènes sont apparus. "Tout le stock d'huile dans la station et les bouchons ont sauté. Dans la cuisine de mes parents, c'est pareil, tout a explosé. Lundi ça a recommencé, le matériel informatique est tombé par terre. Il n'y a plus rien qui fonctionne. On ne peut pas l'expliquer, cela fait 50 ans que le garage existe et il n'y a jamais rien eu", raconte Grégoire l'un des responsables.

    Les pompiers et les gendarmes se sont rendus sur place. Le secteur est sans danger, mais beaucoup de questions étranges perdurent. "Cela fait un peu peur parce qu'on ne sait pas ce qu'il se passe. C'est bizarre. Je crois à ces choses-là. Ce n'est pas un humain qui a fait ça", explique une habitante.


Par Direct Matin, le 21 Août 2015 à 12:38
    Sur la page Facebook des Chasseurs de fantômes de Toowooba,  un post récent  a déclenché des débats passionnés. L'un des membres de cette association, établie dans l'Etat australien du Queensland, pense en effet avoir réussi à photographier un revenant.

    En se promenant dans un parc national près de Goomburra, à 50 kilomètres au sud de Toowooba, le "chasseur" a pris des clichés à proximité d'une fosse remplie d'eau, connue pour plusieurs suicides qui s'y sont déroulés naguère.

Choc

    L'auteur de la photo a raconté s'être senti observé durant la prise de vue, mais sur le moment, n'a distingué aucune présence tangible. Ce n'est que de retour chez lui, en observant les images sur son ordinateur, qu'il a connu un véritable choc.

    Sur l'une des vues, en effet, apparaît une forme qui se confond avec un tronc d'arbre, et qui pourrait être, selon son auteur, un authentique fantôme , doté d'une courte barbe et vêtu d'une surprenante veste rougeâtre. En travaillant sur les filtres de l'image, cette silhouette semble se détacher avec netteté de son environnement.

    Le cas a été âprement discuté sur le forum de la page Facebook, attirant de nombreux commentaires, convaincus ou incrédules.

 

(Publié par Train Fantôme le ??/09/2014)
    C’était peu après le jour de l’an. Il faisait nuit noire et froid. Nous roulions en direction de Villemaréchal, un petit village du sud de la Seine-et-Marne quand sur la route, avant d’arriver au lieux dit "la fontaine", nous avons soudain aperçu des silhouettes qui la traversaient. J’ai arrêté brusquement la voiture...
    Devant nous, il y avait un groupe de personnages avec des capuches et des vêtements semblables aux soutanes que portent les moines.
    Le premier tenait une croix au bout d’un bâton. Nous avons pu compter six de ces moines.         C’était une sorte de procession. Il y avait une lumière blanche et diffuse autour d’eux qui faisait penser à de la phosphorescence.
    Ils ne faisaient aucun bruit et ils avaient l’air de ne pas toucher le sol quand ils se déplaçaient.
    Ils ont traversé la route, puis le champ et se sont enfoncés dans les bois juste sous la ligne à haute-tension.
    J’ai appris plus tard qu’il y avait eu une chapelle dans les bois à cet endroit. C’étaient peut-être les fantômes des moines qui vivaient là ?

(Publié par Train Fantôme le ??/??/????)
    Madame "Dupont" (nous la nommerons ainsi car elle désire garder l'anonymat suite aux problèmes engendrés par cette affaire) habite une maison de cité à Douai (dans le Nord de la France), c'est un ancien coron minier d'une bonne centaine d'années d'existence mais toujours entretenu et en très bon état au moment des faits.
    Madame Dupont vit seule avec sa fille de 12 ans, sa situation financière est stable (employée de mairie) son état de santé l'est tout autant. Rien ne laisse alors présager à de quelconques troubles pouvant décréditer les faits qui vont suivre.
L'affaire se déroulent entre janvier 1985 et septembre 1990 (source "La voix du Nord"). Pendant toute cette période, chaque soir, madame Dupont entend clairement un bébé pleurer dans son grenier. Des pleurs de nourrisson, distincts et terrifiants : "Comme si on égorgeait cet enfant tous les soirs".
un fantome à coté d'une petite fille
Un fantome à coté d'une petite fille Photo de famille réalisée en 1983 qui laisse comprendre que la maison n'habrite pas que les Dupont.
    

    4 ans de peur, de questionnement et de craintes.
    "Au début je gardais ça pour moi, j'avais peur de choquer ma fille" raconte madame Dupont "mais tout à basculé le jour ou c'est elle même qui m'a avoué entendre également ces cris". C'est à ce moment que madame Dupont pris la décision d'alerter les voisins (m et mme Kopins).     "Nous les entendons également" rétorquent les pauvres voisins stupéfaits qui pensaient simplement que madame Dupont avait/gardait un bébé en bas age.
    Convaincu de la bonne foi de sa voisine, monsieur Kopins décide alors de passer une nuit dans le grenier de madame Dupont.
    Durant la nuit les cris se font entendre, la charpente craque et monsieur Kopins raconte avoir vu se matérielliser devant lui une femme et son enfant. "Une espèce de voile blanc flottant, je pouvais voir distinctement une dame très jeune avec un regard vide. elle portait un enfant dans ses bras et ce dernier hurlait comme un cochon qu'on égorge."
    Monsieur Kopins n'est pas resté plus longtemps, on le comprend. Sans vouloir s'enfuir lâchement il invita les Dupont à finir la nuit chez lui. Son témoignage fût pris très au sérieux quand madame Dupont retrouva cette photo ou l'on distingue de manière indéniable une forme apparaissant aux cotés de sa fille en 1983, photo qui à l'époque de son développement n'attira que des sourires blagueurs...

    Il fût ensuite décidé d'entrer en contact avec des organismes spécialisés (P.I.M), des médiums "officiels" sont spécialement venus de Belgique, enfin un exorcisme fût réalisé (sans grand résultat). Plus de 10 témoins ont entendu les cris, personne n'a jamais néanmoins revu cette "femme fantôme" et son bébé qui devaient hanter le grenier de cette demeure, même si il subsiste certaines photos troublantes (ci-dessus) et des enregistrements audio des cris du bébé que nous vous présentons sur cette même page (témoignage d'époque numérisé) .
En 2001 madame Dupont et sa fille ont été relogées par la mairie de Douai, elles gardent toutes deux des séquelles de cet épisode de leur vie.
Le coron en question a été rasé en 2003, personne n'a heureusement jamais reloué la maison après le départ des Dupont en 2000.

Nouveaux soupçons sur l’insaisissable Grêlé

15/09/2015 13:20

    Auteur de trois meurtres et six viols, entre 1986 et 1994 à Paris et en Ile-de-France, ce criminel trahi par son ADN, mais jamais identifié, aurait aussi tué une lycéenne en Seine-et-Marne, en 1994.

    La police a son ADN, connaît son mode opératoire et dispose même d'un portrait-robot. Malgré ces indices, ce tueur en série implacable, surnommé le Grêlé à cause de son visage marqué par des cicatrices, n'a toujours pas pu être identifié. Les policiers de la brigade criminelle de Paris, au 36, quai des Orfèvres, passent tous les jours devant son portrait affiché sur leurs murs.

Portrait-Robot.

    Depuis vingt-neuf ans, il est leur obsession. L'enquête se poursuit toujours, sept juges d'instruction se sont déjà penchés sur ce tueur. En vain. Et il se pourrait qu'un nouvel homicide lui soit imputé, s'ajoutant aux trois meurtres et six viols dont il est déjà soupçonné.

    Rapprochement avec le meurtre de Karine Leroy

    Ce tueur inconnu est désormais soupçonné d'avoir tué Karine Leroy, 19 ans, disparue le 9 juin 1994 au pied de la cité Beauval à Meaux (Seine-et-Marne) alors qu'elle se rendait au lycée. Son corps sera découvert le 12 juillet, dans un bois de Montceaux-lès-Meaux. Le rapprochement entre ce meurtre et le Grêlé a été récemment opéré par la brigade criminelle qui y voit la patte de ce tueur implacable, dont l'empreinte biologique a été identifiée tardivement sur trois autres homicides et trois viols, six dossiers parmi les neuf crimes attribués au Grêlé. Actuellement, des expertises ADN, recherchant entre autre une trace biologique du Grêlé, sont en cours sur les scellés du dossier Leroy, notamment sur le chemisier et les sous-vêtements de la victime.

Une longue liste de proies

    Le Grêlé est suspecté d'avoir déjà tué à trois reprises à Paris. Parmi la liste des victimes que les policiers lui attribuent : Cécile Bloch, 11 ans, mortellement poignardée et violée le 5 mai 1986 à Paris, au troisième sous-sol de l'immeuble où elle vivait dans le XIXe arrondissement. Mais aussi Gilles Politi, 38 ans, mécanicien d'Air France, et Irmgard Mueller, 20 ans, jeune Allemande au pair au sein de cette famille du IVe arrondissement, tous deux tués le 29 avril 1987.

    Une liste macabre qui compte également cinq autres jeunes filles violées ainsi qu'une seconde étudiante allemande. Des faits échelonnés entre 1986 et 1994. Ces neuf dossiers, à l'exception du dossier Leroy, sont actuellement aux mains du juge d'instruction Nathalie Turquey à Paris.

    Le garrot espagnol comme mode opératoire

    L'utilisation du logiciel Salvac, qui analyse entre autre les modes opératoires, a été déterminante pour élaborer un lien entre certains de ces dossiers et celui de Karine Leroy. C'est la méthode de mise à mort de la lycéenne qui a guidé les enquêteurs sur ce dossier. Un homicide par garrot espagnol, qui ressemble à celui utilisé pour tuer Gilles Politi et Irmgard Mueller, la fille au pair.

    Politi, qui travaillait de nuit à l'aéroport de Roissy comme mécanicien, a été retrouvé nu à son domicile par son épouse hôtesse d'accueil. Il avait « les poignets et chevilles attachées par des ceintures volées dans les armoires du couple et tressées en lanières qui passaient par son cou ». Un tisonnier a servi à resserrer ces liens sur la gorge de Gilles Politi, mort étouffé. La jeune fille au pair, dont le Grêlé a pu être un amant occasionnel, était, elle, attachée les bras en croix avec une corde autour du cou au montant d'un lit superposé, la trachée égorgée. Des traces de brûlures de cigarette étaient présentes sur les deux corps.

    Lien torsadé avec un bâton

    Quant à Karine Leroy, lorsque son cadavre est retrouvé par les gendarmes en juillet 1994, elle est allongée sur le dos à l'entrée d'un bois. Elle a « un feuillard (NDLR : une ficelle plastifiée), lacé autour du cou, torsadé avec un bâton derrière la nuque ». Une technique similaire au garrot espagnol utilisé pour les autres meurtres. Il y a de surcroît autour de son cou un fil électrique double avec un nœud coulant. Un paquet de cigarettes dans lequel il en manque une est également découvert à proximité du corps.

    L'éventuelle mise en cause du Grêlé dans le meurtre de Karine Leroy viendrait l'ajouter à sa longue liste criminelle. Son dernier méfait connu était l'enlèvement d'Ingrid G., 11 ans, à Mitry-Mory (Seine-et-Marne) alors qu'elle faisait du vélo. La fillette avait été retrouvée violée et attachée à un radiateur dans une ferme abandonnée à Saclay (Essonne) le 29 avril 1994. Les analyses en cours devraient prochainement permettre de savoir si les doutes des enquêteurs de la brigade criminelle se confirment, doutes partagés par les avocats de la famille Leroy, Me Didier Seban et Me Corinne Herrmann, qui avaient obtenu début mai la réouverture de ce dossier par le parquet de Meaux (Seine-et-Marne).

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