Recueils d'Articles Paranormaux

21/09/2015 14:05

(Publié le 28/05/2015 à 08:10 par Franck Antson)
    À quelques kilomètres du Touquet, le village de Cucq, dans le Pas-de-Calais, a été victime de phénomènes paranormaux dimanche et lundi derniers. Dans l'une des deux stations-service, le téléphone est tombé en panne, la caisse est tombée par terre, les pompes à essence se sont déréglées et les bouchons des bidons entreposés se sont mis à sauter.

    Les gérants de cette station aimeraient bien comprendre pourquoi ces phénomènes sont apparus. "Tout le stock d'huile dans la station et les bouchons ont sauté. Dans la cuisine de mes parents, c'est pareil, tout a explosé. Lundi ça a recommencé, le matériel informatique est tombé par terre. Il n'y a plus rien qui fonctionne. On ne peut pas l'expliquer, cela fait 50 ans que le garage existe et il n'y a jamais rien eu", raconte Grégoire l'un des responsables.

    Les pompiers et les gendarmes se sont rendus sur place. Le secteur est sans danger, mais beaucoup de questions étranges perdurent. "Cela fait un peu peur parce qu'on ne sait pas ce qu'il se passe. C'est bizarre. Je crois à ces choses-là. Ce n'est pas un humain qui a fait ça", explique une habitante.


Par Direct Matin, le 21 Août 2015 à 12:38
    Sur la page Facebook des Chasseurs de fantômes de Toowooba,  un post récent  a déclenché des débats passionnés. L'un des membres de cette association, établie dans l'Etat australien du Queensland, pense en effet avoir réussi à photographier un revenant.

    En se promenant dans un parc national près de Goomburra, à 50 kilomètres au sud de Toowooba, le "chasseur" a pris des clichés à proximité d'une fosse remplie d'eau, connue pour plusieurs suicides qui s'y sont déroulés naguère.

Choc

    L'auteur de la photo a raconté s'être senti observé durant la prise de vue, mais sur le moment, n'a distingué aucune présence tangible. Ce n'est que de retour chez lui, en observant les images sur son ordinateur, qu'il a connu un véritable choc.

    Sur l'une des vues, en effet, apparaît une forme qui se confond avec un tronc d'arbre, et qui pourrait être, selon son auteur, un authentique fantôme , doté d'une courte barbe et vêtu d'une surprenante veste rougeâtre. En travaillant sur les filtres de l'image, cette silhouette semble se détacher avec netteté de son environnement.

    Le cas a été âprement discuté sur le forum de la page Facebook, attirant de nombreux commentaires, convaincus ou incrédules.

 

(Publié par Train Fantôme le ??/09/2014)
    C’était peu après le jour de l’an. Il faisait nuit noire et froid. Nous roulions en direction de Villemaréchal, un petit village du sud de la Seine-et-Marne quand sur la route, avant d’arriver au lieux dit "la fontaine", nous avons soudain aperçu des silhouettes qui la traversaient. J’ai arrêté brusquement la voiture...
    Devant nous, il y avait un groupe de personnages avec des capuches et des vêtements semblables aux soutanes que portent les moines.
    Le premier tenait une croix au bout d’un bâton. Nous avons pu compter six de ces moines.         C’était une sorte de procession. Il y avait une lumière blanche et diffuse autour d’eux qui faisait penser à de la phosphorescence.
    Ils ne faisaient aucun bruit et ils avaient l’air de ne pas toucher le sol quand ils se déplaçaient.
    Ils ont traversé la route, puis le champ et se sont enfoncés dans les bois juste sous la ligne à haute-tension.
    J’ai appris plus tard qu’il y avait eu une chapelle dans les bois à cet endroit. C’étaient peut-être les fantômes des moines qui vivaient là ?

(Publié par Train Fantôme le ??/??/????)
    Madame "Dupont" (nous la nommerons ainsi car elle désire garder l'anonymat suite aux problèmes engendrés par cette affaire) habite une maison de cité à Douai (dans le Nord de la France), c'est un ancien coron minier d'une bonne centaine d'années d'existence mais toujours entretenu et en très bon état au moment des faits.
    Madame Dupont vit seule avec sa fille de 12 ans, sa situation financière est stable (employée de mairie) son état de santé l'est tout autant. Rien ne laisse alors présager à de quelconques troubles pouvant décréditer les faits qui vont suivre.
L'affaire se déroulent entre janvier 1985 et septembre 1990 (source "La voix du Nord"). Pendant toute cette période, chaque soir, madame Dupont entend clairement un bébé pleurer dans son grenier. Des pleurs de nourrisson, distincts et terrifiants : "Comme si on égorgeait cet enfant tous les soirs".
un fantome à coté d'une petite fille
Un fantome à coté d'une petite fille Photo de famille réalisée en 1983 qui laisse comprendre que la maison n'habrite pas que les Dupont.
    

    4 ans de peur, de questionnement et de craintes.
    "Au début je gardais ça pour moi, j'avais peur de choquer ma fille" raconte madame Dupont "mais tout à basculé le jour ou c'est elle même qui m'a avoué entendre également ces cris". C'est à ce moment que madame Dupont pris la décision d'alerter les voisins (m et mme Kopins).     "Nous les entendons également" rétorquent les pauvres voisins stupéfaits qui pensaient simplement que madame Dupont avait/gardait un bébé en bas age.
    Convaincu de la bonne foi de sa voisine, monsieur Kopins décide alors de passer une nuit dans le grenier de madame Dupont.
    Durant la nuit les cris se font entendre, la charpente craque et monsieur Kopins raconte avoir vu se matérielliser devant lui une femme et son enfant. "Une espèce de voile blanc flottant, je pouvais voir distinctement une dame très jeune avec un regard vide. elle portait un enfant dans ses bras et ce dernier hurlait comme un cochon qu'on égorge."
    Monsieur Kopins n'est pas resté plus longtemps, on le comprend. Sans vouloir s'enfuir lâchement il invita les Dupont à finir la nuit chez lui. Son témoignage fût pris très au sérieux quand madame Dupont retrouva cette photo ou l'on distingue de manière indéniable une forme apparaissant aux cotés de sa fille en 1983, photo qui à l'époque de son développement n'attira que des sourires blagueurs...

    Il fût ensuite décidé d'entrer en contact avec des organismes spécialisés (P.I.M), des médiums "officiels" sont spécialement venus de Belgique, enfin un exorcisme fût réalisé (sans grand résultat). Plus de 10 témoins ont entendu les cris, personne n'a jamais néanmoins revu cette "femme fantôme" et son bébé qui devaient hanter le grenier de cette demeure, même si il subsiste certaines photos troublantes (ci-dessus) et des enregistrements audio des cris du bébé que nous vous présentons sur cette même page (témoignage d'époque numérisé) .
En 2001 madame Dupont et sa fille ont été relogées par la mairie de Douai, elles gardent toutes deux des séquelles de cet épisode de leur vie.
Le coron en question a été rasé en 2003, personne n'a heureusement jamais reloué la maison après le départ des Dupont en 2000.

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